en profitant de sa forte proximité évolutive avec la plante modèle Arabidopsis thaliana ou arabette des dames. En effet, la cameline occupe relativement peu d’espace, produit des graines plus grandes qu’Arabidopsis et donc plus facilement manipulables, et elle est polyploïde, disposant de plusieurs sous-génomes, comme le colza ou le blé. Son étude permet donc aux scientifiques de comprendre notamment comment interagissent ces sous-génomes, par exemple lors de la reproduction. Enfin, les scientifiques ont contribué à sélectionner des variétés de camelines présentant des huiles de composition différentes mieux adaptées aux différents usages pour l’industrie, la santé, l’alimentation humaine et animale ou encore à la cosmétique, contribuant ainsi à la diversification de la filière oléagineuse dans un contexte d’une agriculture plus durable. Pour aller plus loin Pour aller plus loin Pour aller plus loin Publication référente Publication référente Publication référente